De  nombreuses  personnes  vivant  dans  les  zones  arides  mènent  des  activités  de  subsistance  qui
conservent la diversité biologique de manière innovante, mais souvent avec peu de reconnaissance.
En guise d’exemple, les agriculteurs du Sahel utilisent des techniques agricoles et d’agroforesterie
qui, non seulement améliorent la productivité et renforcent la résilience, mais également fournissent
aux familles des revenus et de nombreux avantages environnementaux. Dans beaucoup de régions
arides,  les  pasteurs  mobiles  utilisent  des  stratégies  d’élevage  qui  imitent  la  nature,  et  ce  faisant,
promeuvent  des  fonctions  de  l’écosystème  qui,  non  seulement  soutiennent  leurs  moyens
d’existence,  mais  également  fournissent  des  avantages  environnementaux  mondiaux  tels  que  la
séquestration du carbone et la conservation des espèces.

Le domaine de l’économie de l’environnement s’est considérablement élargi depuis les années 1990 avec l’avènement du concept de développement durable, ce domaine ne se satisfait plus seulement l’économie néoclassique et de l’instrument d’internalisation des externalité environnementales, ce concept requiert d’introduire la dimension environnementale par une description biophysique des impacts possibles des projets mais aussi des politiques économiques proposées , combinées avec une évaluation de ces impacts. La dimension sociale doit aussi être intégrée et c’est finalement par une concentration effective de toutes les parties prenantes que les progrès dans la prise de décision pourront se faire. Ce processus de décision doit adopter un point de vue global, les biens et services environnementaux ne reconnaissant pas de frontières.

L’aridité est le manque d’eau permanent qui affecte une région. Elle ne dépend pas de la température : il existe des espaces arides et froids (aux pôles par exemple). On mesure le degré d’aridité* d’une région en fonction de l’indice d’aridité qui mesure la différence entre l’évapotranspiration* potentielle (ETP) et la pluviosité. On parle de zone aride lorsqu’un milieu perd davantage d’eau par évaporation et transpiration qu’il n’en
reçoit par les chutes de pluies.

Ce cours est destiné aux étudiants de master 1 «Ecologie des zones arides et semi arides ». Pour objectif de cette matière «Dynamique passée et actuelle de la végétation» de préparer les étudiants à connaitre les principaux types et les causes de répartition des espèces et des biocénoses ; de connaitre les grandes aires de répartition géographique dans le monde (grands biomes terrestres ; les écosystèmes aquatiques continentaux) et la répartition géographiques des zones arides et semi arides en Algérie.

L’étude méthodologique des phénomènes liés à l’activité économique relatif aux différentes phases de circulation de la marchandise ce résument à la production, la distribution et la consommation, l’écologiste s’intéresse plutôt à la production et la consommation ou il peut y avoir des déchets qui peuvent être néfaste pour l’homme en particulier et l’environnement en générale.

Cours d'hydrologie des zones arides et utilisation des ressources en eau   pour les étudiants de première année Master EZA et SA. Une introduction dans laquelle il définit ce qu'est l'hydrologie des zones arides et utilisation des ressources en eau  . Afin d'acquérir des connaissances sur l’hydrologie des zones arides, les technique d’irrigation, savoir comment planifier les ressources hydriques et comment éviter l’érosion hydrique.

le cours présente des généralités sur La gestion de projet est le mode de réalisation d'un projet, où l'application des techniques de gestion pendant le cycle de vie du projet permet d'atteindre des objectifs précis.

Acquérir des connaissances sur les causes et les processus de désertification. Le concept de désertification a fait l’objet de nombreuses définitions, nous retiendrons la définition donnée par la Convention de la lutte contre la désertification : la désertification est le processus de dégradation des terres dans les zones arides, semi-arides et sub-humides sèches par suite de divers facteurs, au nombre desquels les variations climatiques et les activités humaines (UNCCD, 1994). Selon le Millennium Ecosystem Assessement (2005), la désertification est l’un des plus grands défis environnementaux et un frein majeur à la satisfaction des besoins élémentaires des populations en zones arides. Le plus souvent, elle est associée à un certain nombre de manifestations physiques et socioéconomiques telles que l’ensablement, l’avancée du désert, l’érosion et la dégradation des sols, la déforestation, le déclin de la productivité biologique des terres, la croissance démographique, l’utilisation inappropriée des technologies (Swift, 1996).