Biodiversité végétale
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Comme les humains, les animaux et les plantes ont des besoins fondamentaux qui doivent être satisfaits afin d’assurer la vie des individus et la survie de l’espèce. Il s’agit principalement de nourriture (en qualité et en quantité suffisante), d’habitats spécifiques, de zones de quiétude et de partenaires en bonne santé (vie sociale, reproduction). En général, le milieu naturel procure à chaque espèce ce dont elle a besoin. Mais les activités humaines perturbent cet équilibre, et ce, parfois, à tel point que les conditions nécessaires à la survie des espèces ne sont plus remplies. En conséquence, certaines espèces ne sont plus en
mesure de répondre à leurs besoins et déclinent. D’autres espèces sont affaiblies par ces perturbations et résistent moins bien aux situations critiques (pollution, réchauffement climatique, sécheresse, maladies, parasites, prédateurs…).
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Faculté : sciences Departement science de la nature et de la vie Intitulé du Master : Biotechnologie Végétale Semestre : 01 Intitulé de l’UE : UE Découverte1 Matière : Plantes cultivées à intérêt économiques Crédits : 2 Coefficients : 2
- Faculté :
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- Public cible : 1ère année, S1, Master Structures,
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- Horaire :1h30 cours, 1h00 TP.
Enseignant :
Chargé de module :
Contact : @gmail.com
Disponibilité :
Au département : Mercredi à partir de 14h et Jeudi à partir de 8h.
Par mail: Je m’engage à répondre par mail dans 24 heures qui suivent la réception du message, sauf en cas d'imprévus. -
Bien qu’il existe une grande imprécision sur les taux d’extinction, l’UICN (l’union international pour la conservation de la nature) pense que 25% des espèces mondiales de mammifères et 11% des oiseaux sont directement menacés de disparition. Les autres groupes biologiques étant moins bien connus, il est difficile d’avancer des chiffres, mais les scientifiques s’accordent en général pour prédire l’extinction de 25 à 50% de toutes les espèces d’ici la fin du siècle si rien ne change. Le taux d’extinction actuel est 10000 fois supérieur au taux d’extinction naturel, ce qui incite certains auteurs à prétendre que l’homme est à la base de la grande extinction. En Europe occidentale les milieux strictement naturels sont devenus très rares. Dans la plupart des cas, la mise en réserve ne suffit pas pour la conservation du patrimoine naturel et paysager. En effet, ce patrimoine est presque toujours le résultat des activités humaines du passé. On parle pour cette raison de milieux semi naturels qui sont devenus des refuges de substitution pour la biodiversité végétale et animale. Une fois que les activités traditionnelles sont abandonnées, l’évolution spontanée reprend son cours et conduit presque toujours à la forêt. Si on laisse se faire cette évolution, le site perd inéluctablement son intérêt actuel. Des travaux de gestion sont donc nécessaires afin de restaurer, d’entretenir et de surveiller les milieux intéressants en fonction d’objectifs de conservation choisis. Ces objectifs sont déterminés après une étude
scientifique et formalisés par le plan de gestion de la réserve. Devant la dégradation des milieux naturels une nouvelle approche a vu le jour qui a pour objectif de “ faire sortir la nature de sa réserve” afin de maintenir ou de restaurer sa biodiversité. Ainsi, les projets sont élaborés sur la base d’une expertise scientifique vise à reconstituer le réseau écologique naturel. Donc, le premier travail des scientifiques est de découvrir, de décrire et de classer un maximum d’espèces encore inconnues. Les formations végétales ligneuses et herbacées, assurent une transition entre les milieux aquatique et terrestre. Celle-ci est fortement réduite le long de la plupart de nos cours d’eau pourtant elle représente une source de productivité et de biodiversité particulièrement intéressante. Les techniques de stabilisation artificielles des berges (murs, gabions, enrochements...) sont une des causes de cette dénaturation.
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Les variétés nouvelles sont le plus souvent sélectionnées sur la base de leur niveau de rendement sans tenir compte des caractères adaptatifs qui sont des régulateurs de la production en milieux variables. La réussite de leur production dépend en grande partie, du choix de la variété appropriée, c’est-à-dire de sa résistance aux maladies, de son adaptation au sol et au climat, de son rendement et de la qualité du grain.
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Pour créer une bonne variété, il ne suffit pas d’avoir de bons, il faut aussi disposer d’une variabilité génétique importante.les ressources génétique sont en fait le matériau de base de la création variétale. Avec le développement des variétés monogénotypiques, la variabilité génétique n’étant plus dans le champ de l’agriculture, les sélectionneurs, dès les premiers balbutiements de l’amélioration des plantes « dirigée », ont été les premiers à prendre conscience de leur importance en les collectant, les caractérisant et les conservant, mettant ainsi très tôt en place, dés le XVIIIe siècle, une gestion des ressources génétiques utilisables en sélection. Beaucoup plus tard, fin du XIXe et début du XXe siècle, face au risque de diminution de la variabilité génétiques, des organismes nationaux (USDA aux États-Unis, Institut Vavilov en Russie…) et internationaux ( Irri pour le riz aux Philippines, Cimmyt au Mexique pour le blé et le mais) de gestion des ressources génétiques se sont développés.
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En milieux variable l’efficacité de la sélection sur la base d’un seul caractère qui soit à même d’amener des changements appréciables dans la moyenne du rendement en grain des populations criblées est très variable suite à l’influence de l’environnement qui fait varier le niveau de ce caractère et ses relations avec les autres variables d’une année
à l’autre.
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La présente étude analyse l’effet de la sélection, pratiquée en F2, de la biomasse, du poids des épis, et de leur combinaison sous forme d’un indice sur le rendement grain, mesuré en F3 de trois populations de blé dur (Triticum durum Desf.), sous conditions semi-arides.
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Décrire ce que l’étudiant est censé avoir acquis comme compétences après le succès à cette matière – maximum 3 lignes Avoir une idée sur les différentes plantes cultivées et connaître les principales cultures à intérêt économique
objectif de cours
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Exemples : la déforestation et l’agriculture intensive
Par déforestation, on entend l’élimination d’au moins 90 % de la couverture forestière sur une surface donnée. Elle frappe particulièrement les forêts tropicales. On estime que l’Amérique du Sud et l’Afrique perdent, chaque année, près de 4 millions d’hectares de forêt et que plus de 100 000 km² (soit trois fois la superficie de la Belgique) disparaissent au niveau mondial. Une des premières causes de la déforestation est l’exploitation du bois, qui sert comme bois de chauffage aux populations locales, ou encore l’exploitation du bois précieux (teck, acajou, balsa) qui est exporté vers les pays développés. Une autre cause de la déforestation est le défrichement des forêts pour gagner des surfaces agricoles qui servent souvent aux cultures intensives (soja, maïs, palmiers à huile) et à l’élevage destinés à l’exportation vers les pays développés. La troisième cause de la déforestation est due aux incendies de forêt qui détruisent, chaque année, de vastes surfaces un peu partout dans le monde. Souvent, ces
incendies sont le résultat de la spéculation
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Quezel, P., Santa S. (1963). Nouvelle Flore de L'Algérie et des Régions Désertiques Méridionales. Tome II, Editions du Centre National de la Recherche Scientifique (C.N.R.S), 15 Quai Anatole France, Paris, p 657.